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Les recrues du PSG en 1999 — épisode 2/4

Portraits d’anciens du PSG : Benarbia, El Karkouri

Revisitez la carrière parisienne des joueurs arrivés au PSG en 1999

vendredi 24 décembre 2010, par Gauthier B.

Portraits d'anciens du PSG : Benarbia, El Karkouri

Toute cette saison, PSGMAG.NET vous ramène au siècle précédent, en vous proposant chaque mois le résumé d’une saison passée et le portrait des joueurs arrivés au club à l’époque. L’opération « rétro » se poursuit avec la saison 1999/2000. Au programme cette semaine, la carrière parisienne d’Ali Benarbia, Talal El Karkouri.

Cette semaine, retrouvez les portraits d’Ali Benarbia et Talal El Karkouri.

Ali Benarbia

En 1999, le PSG réalise un gros coup sur le marché des transferts en bouclant très vite la venue de celui qui n’est ni plus ni moins que le meilleur joueur du précédent championnat : Ali Benarbia. Joueur chevronné, il est recruté pour reprendre en main un secteur offensif décimé, et le Franco-Algérien a clairement le CV pour cela.

Formé à Narbonne puis au FC Martigues, il effectue dans le club des Bouches-du-Rhône ses débuts professionnels en 1986, à l’âge de 17 ans. Il s’y impose très vite et devient le maître à jouer de sa formation, qui évolue alors en seconde division. En 1987, le club martégal monte à l’étage supérieur, et Benarbia découvre ainsi l’élite durant deux saisons d’affilée. Martigues redescend ensuite, et alors que le talent du joueur semble le promettre à un grand avenir, aucun club de première division ne s’intéresse réellement à lui. Benarbia se résout donc à rester dans le club provençal. Il effectue ainsi quatre nouvelles saisons en D2, avant que son club ne remonte à nouveau, en 1993.

Il joue alors deux nouvelles saisons en première division. Benarbia étant désormais plus mature, son sens de la passe est remarqué. La deuxième saison, il réalise même son meilleur total de buts en marquant à sept reprises. En 1995, il quitte finalement son premier club : Jean Tigana le recrute à Monaco. À 27 ans, il découvre les joies d’un grand club, mais aussi ses difficultés puisqu’il est soumis à une forte concurrence.

Sa première saison sur le Rocher est assez difficile pour lui, puisque le meneur de jeu belge Enzo Scifo est toujours là, et en forme. Benarbia parvient toutefois à disputer une vingtaine de matches ; surtout, il évolue enfin dans le haut du tableau : Monaco se classe troisième. La saison suivante, aidé par les blessures de Scifo et de la recrue Ndoram, le petit meneur de jeu s’impose dans sa formation et en devient le patron. Il en profite pour découvrir la coupe d’Europe. En championnat, Benarbia se régale et n’a de cesse de distiller des bons ballons, notamment pour Sonny Anderson. L’ASM finira champion, juste devant le PSG.

En 1997/1998, Monaco commence bien sa saison, et bien que le club doive faire sans Anderson, Benarbia se découvre des affinités avec un autre buteur : David Trezeguet. Si la deuxième partie de saison est plus poussive — le club de la Principauté se fera distancer par Lens et Metz —, elle voit l’AS Monaco briller en Ligue des champions, éliminant Manchester en quarts de finale et s’inclinant de justesse face à la Juventus en demis. Benarbia émet alors le souhait de tenter un nouveau challenge. Le PSG se montre intéressé, mais les dirigeants de l’ASM refusent de renforcer un concurrent direct pour le titre, et cèdent donc leur joueur aux Girondins de Bordeaux. Benarbia est vivement regretté à Monaco, Trezeguet critiquant publiquement sa direction pour avoir cédé leur maître à jouer…

En Gironde, tout se passe bien. Benarbia s’intègre très vite au groupe formé par Élie Baup, et forme avec Micoud, Wiltord et Laslandes, une armada offensive qui fait peur à tous ses adversaires. Pour sa première apparition avec le maillot au scapulaire, il est même buteur, face au PSG. Meneur de jeu côté droit dans le célèbre 4-4-2 girondin, le joueur régale et mène son nouveau club au titre de champion. Il est élu meilleur joueur de D1 par ses pairs. En fin de saison, les rumeurs enflent quant à un éventuel départ pour la capitale. Lors de la 34e et dernière journée de D1, au Parc des Princes, Bordeaux s’impose 2-3. Les Girondins fêtent leur titre sur la pelouse ; en passant devant le virage Auteuil, Ali Benarbia adresse un signe qui ne trompe pas : oui, il rejoindra bien le PSG dans les semaines qui viennent.

À Paris, Philippe Bergeroo perçoit très vite l’influence positive que le joueur a sur son groupe et en fait son capitaine. Benarbia instaure les petits-déjeuners en commun au sein du groupe, et la bonne ambiance est de mise lors de la préparation estivale. Les résultats suivent, puisque Paris est leader après quatre journées. Les qualités de passeur du milieu droit — qui permute souvent avec Robert en cours de match — font des ravages. S’il est expulsé à Lyon pour une altercation avec Serge Blanc, il revient ensuite et continue à tirer son équipe vers le haut. Il est notamment clairement responsable de l’éclosion de Christian lors d’un match face à Sedan : partant du côté droit, il dribble plusieurs joueurs puis, une fois dans la surface, prend le temps d’indiquer du bras à Christian où il va faire la passe. Le Brésilien suit et ouvre son compteur but.

La saison continue sur les mêmes bases, et le riche potentiel offensif du PSG permet à Benarbia et ses coéquipiers d’obtenir une belle deuxième place. Pour la première fois de sa carrière, il a accompli une saison vierge en but, mais cela n’altère en rien son bilan : avec huit passes décisives et une emprise positive sur le jeu du PSG, sa première année parisienne est un succès. Il y a cependant un bémol avec la finale de coupe de la Ligue perdue face à Gueugnon (D2). Certains médias ont fait état de négociations dans la semaine précédant la rencontre concernant les primes en cas de victoire. Les discussions entre Benarbia et sa présidence n’auraient pas abouti à une solution satisfaisante pour les joueurs, et ce point de désaccord aurait été la cause du match très moyen de plusieurs Parisiens au Stade de France. Si l’affaire reste à prendre avec des pincettes, le recrutement massif opéré par le PSG à l’intersaison pousse Benarbia sur le banc, et il se voit déchu de son brassard.

Parallèlement à son parcours au PSG, c’est à cette époque qu’il entame sa carrière internationale avec l’équipe d’Algérie, à l’âge de 32 ans. Sa sélection tardive n’a pas manqué de faire polémique : contacté depuis 1986 par la fédération algérienne, il avait jusque-là toujours refusé de répondre présent, jugeant son équipe nationale mal organisée et trop peu professionnelle — ses craintes portaient notamment sur la couverture sociale des joueurs blessés. En Algérie en revanche, beaucoup ont considéré qu’il a attendu si longtemps dans l’espoir d’être sélectionné chez les Bleus [1]. Benarbia devient donc international en septembre 2000, et ne le restera qu’une année, pour neuf sélections.

Ali BenarbiaAu PSG, en 2000/2001, il est un remplaçant de luxe, parfois titulaire pour faire souffler des joueurs comme Dalmat ou Robert. Il parvient à se montrer à son avantage lors des matches qu’il joue, et semble plutôt bien prendre son nouveau statut. Il obtient également du temps de jeu en Ligue des champions : il est notamment titulaire lors de la victoire parisienne face au Bayern Munich. Lors du match retour en Allemagne, un incident éclate avec Philippe Bergeroo, qui reproche à son joueur d’avoir fait venir sa femme à son hôtel lors de la mise au vert. La conséquence directe est que le joueur est mis à pied pour une durée indéterminée.

Durant plus de deux mois, Benarbia est donc à l’écart du groupe pro. Son salut viendra finalement du changement d’entraîneur : Fernandez remplace Bergeroo début décembre et, en janvier, le numéro 8 parisien obtient le droit de réintégrer l’équipe. Il est d’ailleurs titulaire d’emblée face à Nancy en coupe de la Ligue. Paris s’incline largement, mais Benarbia marque son premier but pour Paris d’une reprise de volée. Ce n’est pas pour autant que l’Algérien redevient indispensable au club. Fernandez s’en sert surtout comme joueur d’appoint, et le titularise de temps à autres. Il réalise notamment une bonne deuxième période au Parc face à Toulouse, ce qui lui vaudra la chance d’être titulaire pour le fameux match décisif de Ligue des champions à La Corogne

Avec l’arrivée de Ronaldinho pour la saison qui suit, Fernandez annonce rapidement à son milieu offensif qu’il risque de jouer de moins en moins. Benarbia recherche donc un club, mais accepte tout d’abord de rendre service en évoluant en coupe Intertoto. Il en profite pour marquer un autre but pour Paris. Benarbia jouera finalement son dernier match lors de la première journée de la saison 2001/2002, et part ensuite tenter l’aventure à l’étranger, à Manchester City.

Doté d’un jeu technique qui ne se prêtait pas forcément aux joutes anglaises, Benarbia s’impose, et plaît à son entraîneur Kevin Keegan et à son public. Au terme d’une saison où City bat tous les records — 99 points et 108 buts marqués en Championship —, Benarbia participe à la montée et évolue ensuite en Premier League. Les anciens Parisiens Distin et Anelka le rejoignent, et Benarbia s’amuse pour ce qu’il croit être sa dernière saison professionnelle. À bientôt 35 ans, il annonce en effet sa retraite, et quitte Manchester en laissant un très bon souvenir aux supporters des Citizens. Mais finalement, une offre du Qatar qui ne se refuse pas financièrement lui fait rechausser les crampons. Dans l’émirat, il joue d’abord pour Al-Rayan puis pour le Qatar SC. C’est finalement à 37 ans, en 2006, qu’il prend sa retraite. Il reste toutefois installé à Doha, où il est désormais consultant pour les chaînes sportives nationales.

Talal El Karkouri

En janvier 2000, Paris reçoit Strasbourg. Godwin Opara est à la Can, Cesar est suspendu, Bruno Carotti a précipitamment quitté le club et le jeune Patrice Grillon est jugé trop tendre. Au final, Paris ne compte plus qu’un seul défenseur central disponible : Éric Rabesandratana. C’est donc en toute hâte que le PSG se cherche une recrue, et c’est ainsi que Talal El Karkouri arrive dans la capitale française.

Formé au Raja Casablanca, et prêté une saison à l’Ittihad Tanger, il commence à évoluer régulièrement dans son équipe d’origine à partir de 1997, où il est entraîné par un certain Vahid Halilhodzic. Au Raja, il enchaîne les titres de champion du Maroc, et gagne deux Ligues des champions d’Afrique [2]. Début 2000, il participe à la coupe du monde des clubs, et si son équipe perd tous ses matches, El Karkouri se distingue en effectuant une prestation solide face au Real Madrid — ponctuée d’un coup franc impressionnant sur la barre de Casillas. Le joueur ainsi mis en lumière est subitement convoité par plusieurs clubs européens… mais il avait signé un mois plus tôt un pré-contrat avec le Servette FC (Suisse), et devait rejoindre son nouveau club à l’issue de la compétition.

Partenaire de longue date du club suisse — les deux formations ayant le même actionnaire majoritaire, le groupe Canal+ —, le PSG demande à se faire prêter El Karkouri quelques semaines, le temps qu’Okpara et Cesar reviennent. Le Marocain marque d’emblée les esprits par son interview d’avant-match très particulière, demande à ce qu’on l’appelle « Talal », parle de lui à la troisième personne et annonce qu’il privilégiera toujours la relance propre au dégagement en catastrophe [3]… Sur le terrain, sa première est encourageante, même si le joueur s’avère justement ne pas être du genre à faire preuve de finesse sur la pelouse. El Karkouri enchaîne les rencontres en janvier, et son rendement est tellement satisfaisant que le PSG décide de l’acquérir définitivement.

À leurs retours respectifs, Cesar et Okpara devront s’asseoir sur le banc, et certains experts [4] jugeront la charnière Rabé-Talal hyper-sécurisante. El Karkouri devient ainsi vice-champion de France, et découvre les joies de la sélection marocaine. Titulaire au début de la saison suivante, il se fait petit à petit prendre sa place par Sylvain Distin. Il marque son premier but parisien sur coup franc face à Helsingborg, mais disparaît progressivement de l’équipe… jusqu’au retour de Luis Fernandez, qui le positionne stoppeur dans sa formation à cinq défenseurs.

Malheureusement, lors du match très médiatisé du PSG à Istanbul face au Galatasaray, El Karkouri a le tort de commettre la faute qui provoque le penalty victorieux des Turcs. Ceci lui vaudra les critiques acerbes en direct de Jean-Michel Larqué sur TF1, qui en fera son souffre-douleur du soir. À partir de ce match, alors que les a priori à son égard étaient plutôt bons jusque-là, le joueur pâtira d’une réputation de joueur limité. Il commencera dans la foulée à se faire conspuer par le Parc des Princes et, en décembre, sera expulsé coup sur coup lors de deux rencontres à domicile. À l’ouverture du mercato hivernal, suite au recrutement de Vampeta, le PSG se retrouve avec un joueur extra-communautaire de trop. Il est donc suggéré à Talal d’aller se ressourcer en prêt : le défenseur part pour une demi-saison à l’Aris Salonique (Grèce), où il jouera une dizaine de rencontres.

Talal El Karkouri (photo Christian Gavelle — PSG)Revenu au club en 2001/2002 [5], il n’entre pas dans les plans de Fernandez, et assiste du banc de touche à la réussite de la charnière argentine Heinze-Pochettino [6]. C’est à partir de la treizième journée qu’El Karkouri rejoue enfin pour Paris ; dès lors, il ne quittera que très peu l’équipe. Premier défenseur du banc à jouer en cas d’absence — même en tant qu’arrière droit en cas d’absence de Cristobal —, il rend de précieux services à son club et dispute 16 rencontres. La saison suivante, il joue de plus en plus souvent, et marque même en championnat face à Lyon, lors de la rencontre qui sauve Fernandez du licenciement. Pourtant, peu de temps après, il est prêté pour six mois à Sunderland (Angleterre), où il joue finalement moins qu’à Paris.

De retour à l’été 2003 pour sa dernière année de contrat, il retrouve son entraîneur du Raja, Vahid Halilhodzic. Le Bosnien, s’il ne fait pas du Marocain un titulaire, s’appuie tout de même très largement sur lui. Régulièrement titulaire, El Karkouri fait à nouveau de nombreuses piges, dès qu’il y a un blessé, un suspendu, ou une modification tactique — comme lorsque Mendy monte au milieu de terrain. À chacune de ses apparitions, l’ex-joueur du Raja se montre très solide, et il réalise finalement sa meilleure saison parisienne, mais aussi la plus dense avec 27 matches de championnats joués — malgré son absence durant la Can, où il atteint la finale. Il est à nouveau vice-champion et gagne la coupe de France. Titulaire en finale face à Châteauroux, et se sachant sur le départ, il se distingue par ses propos : il s’en prend aux supporters et aux journalistes, considérant que c’est le racisme qui a provoqué les mauvaises critiques qu’il a subies durant son passage parisien. Talal était au final un bon joueur de club, qui quitte malheureusement le PSG sur cette mauvaise note.

Libre, il s’engage à Charlton (Angleterre). Sa première saison est très bonne ; il marque notamment cinq fois, dont le plus beau but de son équipe cette saison-là, face à Arsenal. Son jeu très agressif plaît, et les supporters l’adoptent. Longtemps blessé lors de sa deuxième saison, il redevient ensuite titulaire en 2006/2007. Il est alors en plein cœur d’une polémique, puisque suite à une simulation de sa part, un adversaire est expulsé. El Karkouri est vivement critiqué dans les médias anglais. Très solide mentalement, le Marocain n’y prête pas attention, et termine la saison sur de bonnes performances. Il ne peut toutefois pas empêcher la relégation de son équipe, et décide donc de tenter une nouvelle aventure : il signe en 2007 au Qatar SC, où il joue encore aujourd’hui. Sur le plan international, il a pris sa retraite en 2008.

Ils sont arrivés au PSG en 1997…

Ils sont arrivés au PSG en 1998…

Ils sont arrivés au PSG en 1999…
- Laurent Robert, Fabrice Abriel
- Ali Benarbia, Talal El Karkouri
- Christian, César
- Kaba Diawara, Godwin Okpara

P.-S.

Crédits photos : Christian Gavelle — PSG.

Notes

[1] Une interview intéressante de Benarbia concernant sa relation avec la sélection est consultable sur le site lebuteur.com.

[2] El Karkouri remporte la Ligue des champions d’Afrique en 1997 puis en 1999.

[3] « Je n’ai jamais reçu un carton rouge de ma carrière. Quand on me provoque, je réponds en étant encore plus fort sur le terrain », annonce-t-il à son arrivée.

[4] Notre rédacteur en chef Vivien Brunel en fait.

[5] « J’ai envie de rester à Paris, de m’imposer, déclarait-il en juin 2001. Je n’ai pas encore eu d’entrevue avec Luis. Si on me dit qu’on compte sur moi, je reste. C’est comme le joueur qui est à l’AS Roma et à qui on propose d’aller à Brescia. Il préférera quoi ? Rester à l’AS Roma. Si on me demande gentiment de partir, j’assumerai et je chercherai un autre club. Une chose est sûre : je veux jouer. Dans un an, il y a la coupe du monde et comme tout joueur, j’ai une énorme envie de la disputer. »

[6] Sifflé par le Parc des Princes face au Rapid Vienne en octobre 2001, El Karkouri s’interroge dans le Parisien : « Je ne comprends pas pourquoi le public me siffle. Je reste calme, mais ça fait mal au cœur. Je suis chez moi, sur mon terrain… Je n’avais pas joué depuis longtemps avant ce match PSG 4-0 Rapid Vienne, il fallait montrer que Talal est là. »

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5 commentaires ont déjà été postés par nos lecteurs

  • #1
    6 votes
    Nico88J
    24 décembre 2010 10:54

    belle reconversion pour Ali dans les médias

    Sinon je n’en peux plus, faites un papier sur Sévérac, voicic ce qu’il vient d’écrire :

    """""""Un entraîneur audacieux
    Le feu couvait. En une semaine et trois défaites consécutives — Bordeaux, Maccabi Tel-Aviv, Sochaux —, Antoine Kombouaré a senti un vent de panique souffler dans son dos.

    Au lieu de se voiler la face comme l’aurait fait par exemple son prédécesseur Paul Le Guen, le Kanak s’est emparé avec vigueur du problème en opérant des choix radicaux"""""

    on croit rever, il y a deux ans, le psg avait 33 pts à la treve, était qualifié en uefa et en demi de coupe de la ligue et voila que……… écrit ça……. à vomir

    bonnes fetes qd même ;)

  • #2

    okocha57
    25 décembre 2010 14:41

    Voici un petit souvenir concernant Talal El Karkouri :http://www.youtube.com/watch?v=ZatB…

    Voila ce que je retiens de lui, sinon merci pour tout ses souvenirs, Ali Benarbia restera un grand joueur, j etais jeune mais je me souviens de ses passes,ses dribles,sa vision du jeu etc… ses articles son un regale

  • #3

    okocha57
    25 décembre 2010 14:47

    Pour la video que j ai poster, ont y vois Talal insulter les supporters de fils de p….certains n ont peut etre jamais vu cette video

  • #4

    JLOAN
    4 janvier 2011 16:04

    Talal etait limité sportivement et intellectuellement.

    Il pretendait qu’il se faisait siffler parce qu’il etait arabe… Ben non mon gars tu te faisait siffler parce que t etais mauvais c est tout…

    Benarbia ne s est jamais fait sifflé, au contraire il a laissé plutot un bon souvenir.

    Talal deconseillait aux joueurs qu il connaissait de ne pas venir à paris car c etait un club de raciste… (meme si on ne peut ignorer la minorité de facho dans le stade qui nous fait tant de mal, de là à faire l’amalgame sur tout le club…)

    Ce qui ne l aps empeché de rester 4 ou 5 ans à paris… Comme quoi la soupe ne devait pas être si mauvaise que ça, même si ça ne l’a pas empeché de cracher dedans apres…

  • #5

    Julien Siriex
    4 janvier 2011 20:51

    Je me souviens d’une très belle phrase prononcée par Talal :

    « Une femme, c’est comme un ballon, si tu le caresses bien, il te répond bien. »

    Bon, j’ai appris après coup que cette belle prose n’était finalement pas de lui. Finalement, à part ses high kicks débouchant sur des pénos ou sur des buts contre notre camp, j’ai peu de souvenirs le concernant.

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