PSG MAG - le magazine du PSG
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L’été du PSG dans les médias, volume 3
Compilation de boulettes et gros plan sur {le Parisien}
dimanche, 13 septembre 2009, par
Passage en revue des pires articles publiés sur le PSG cet été |
Au PSG, si t’en re-veux, y en re-n’a… Outre l’affaire du maillot, l’homophobie et Cohn-Bendit, Montpellier-PSG, les primes de match, la coupe UEFA et notre chronique hebdomadaire du PSG dans les médias (semaines 1, 2, 3, 4 et 5), nous avons relevé de nombreuses autres perles cet été. Vous aimez les brèves incohérentes, et les articles franchement stupides ? Vous raffolez des inepties du Parisien, de L’Équipe ou du 10 Sport ? Bon, alors puisque vous avez été sages, PSGMAG.NET vous propose un petit pot-pourri de ce qui a été écrit de pire sur le Paris Saint-Germain cet été.
Passage en revue de quelques unes des erreurs qui polluent régulièrement les articles évoquant le Paris SG.
Suspendu trois matches la saison dernière à Reims — suite à une bagarre générale contre Nîmes —, Younousse Sankharé n’avait purgé qu’un match en fin de saison dernière. Le jeune Parisien était donc suspendu lors des deux premières journées.
Première erreur au Parisien : il a fallu attendre le lendemain de la première journée pour que Sankharé soit enfin considéré comme suspendu. Et les additions n’étant pas chose aisée du côté de Saint-Ouen, le journal indiqua dans son édition du 16 août que la suspension de Sankharé serait valable lors de Valenciennes-PSG, alors qu’elle prenait fin contre Le Mans.
Quant à L’Équipe, que ce soit à Montpellier ou contre Le Mans, avant ou après les matches, ils n’ont toujours pas compris que Sankharé avait été suspendu.
So Foot, à propos d’une information donnée par Pierre Ménès sur Canal+ :
Le 10 Sport annonce une nouvelle formule, fort de l’arrivée il y a quelques mois du directeur des rédactions de L’Équipe, Claude Droussent. Jusqu’à maintenant, l’hebdomadaire reste toutefois sans intérêt, sur le fond comme sur la forme. Exemple avec un article sur le PSG dans la dernière édition :
Dans la série Méfiez-vous des « transferts officiels » au PSG, le Parisien annonçait début juillet sur son site Internet que Fabrice Pancrate (29 ans) « va s’engager ce mardi soir avec le club anglais de Barnsley ».
Le lendemain, dans les kiosques, le quotidien affirmait : « Pancrate […] a sihné (sic) hier soir pour 4 ans avec Barnley, club anglais de Premier League. »
Finalement, il ne s’agissait pas de Barnsley — qui évolue en deuxième division anglaise (Championship) —, ni de Barnley — qui n’existe pas —, mais de Burnley — promu en première division anglaise (Premier League) —. Et Fabrice Pancrate n’avait rien signé. Une fois encore, le journal ne reconnaîtra pas son erreur, se contentant d’annoncer que Pancrate « a finalement refusé la proposition de Burnley ».
L’Équipe continue de corriger certaines erreurs :
En revanche, le quotidien sportif n’a toujours pas compris que Colony Capital est un fonds d’investissement, et non un fonds de pension. Le 1er août, l’erreur est donc à nouveau reproduite.
Du côté du site lejdd.fr, Michel Moulin continue de faire des vagues. Après l’avoir affublé du titre d’« éphémère directeur sportif du PSG », voilà que le site du groupe Lagardère voit en lui un « éphémère président du PSG ». Au secours !
Le Parisien est le journal qui écrit le plus souvent sur le Paris SG. Du coup, c’est aussi celui qui se trompe le plus souvent…
Le Parisien recalé au CP
Le Parisien fait des stats
Autre scoop : le PSG n’a plus battu le Stade de Reims depuis 1979 ! [3]
Le Parisien enterre Yannick Boli
Le Parisien, premier sur les transferts
Le Parisien connaît les joueurs
Le Parisien ne relit rien
Le Parisien regarde les matches
Le Parisien regarde les matches (suite)
Le Parisien maîtrise l’orthographe
Le Parisien maîtrise l’orthographe (suite)
Le Parisien clarifie les choses
L’astuce du jour : quand une phrase débute par « en clair », c’est qu’il y a anguille sous roche. Illustration avec cet article de Frédéric Gouaillard et Christophe Bérard dans le Parisien du 4 juillet, à propos de Jérôme Rothen :
Au terme de son argumentaire, Rothen expliquait qu’il ne pouvait pas rester au PSG et demandait aux dirigeants de le « laisser libre » alors qu’il dispose encore de deux ans de contrat. En clair, le milieu parisien déverse un tombereau d’insultes sur les responsables du club et leur demande de s’asseoir sur une indemnité de transfert qui peut aller jusqu’à 4 M€.
[1] Il ne s’agit ni d’une erreur de saisie de notre part, ni d’un jeu de mot quelconque, juste d’une coquille du 10 Sport.
[2] Le mot oublié est d’origine.
[3] Le Stade de Reims n’a plus joué en première division depuis 1979…