Dans son édition du jour, le Parisien passe en revue les différents candidats au poste de président-délégué. Voici le bilan établi par le quotidien francilien :

 Karl Olive, qui était cité par l’AFP hier, « a un profil intéressant, mais les actionnaires ne le connaissent pas ».

 Concernant Philippe Boindrieux, l’actuel directeur général délégué, le quotidien assure que « si les administrateurs apprécient sa personnalité et son travail, certains estiment qu’il lui manque encore une connaissance exhaustive du milieu du football. »

 Jean-Claude Plessis — « toujours prêt à bondir dès qu’un fauteuil se libère » — ne devrait pas être contacté, pas plus que Luis Fernandez — « que l’on devine prêt à tout plaquer pour sauver le club de son coeur » — ou David Ginola — qui s’est à nouveau déclaré candidat, mais dont l’inexpérience comme dirigeant « offre peu de chances ».

 Si « hier, dans les couloirs du Parc des Princes, on évoquait un plan de reprise de Michel Moulin  », celui-ci est qualifié de « peu crédible ». Concernant Arsène Wenger, « la piste idéale », le quotidien estime qu’« il ne faut pas rêver ». De même, le Parisien « voit mal Gérard Houllier démissionner de son poste de directeur technique national du football français ».

 Pierre Dréossi, manageur du Stade rennais, « correspond au profil mais assure que “la question ne (lui) a pas traversé l’esprit” ».

 Enfin Christophe Chenut, le directeur général du groupe Lacoste dont le nom circule dans la presse, « a envoyé un communiqué à ses salariés pour leur assurer que ce n’était qu’une rumeur infondée ».

(photo Olaf Nordwich)