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Synthèse des faits marquants

[36e j.] Retour sur PSG 1-2 Auxerre (vidéos)

Deuxième défaite consécutive du PSG au Parc des Princes

dimanche 17 mai 2009, par Arno P-E, Gauthier B., Vivien B.

[36e j.] Retour sur PSG 1-2 Auxerre (vidéos)

Au programme de ce « retour sur le match » : le résumé du match, le match en vidéos, le bilan de la 36e journée, le joueur par joueur, la chronique de Pierre Ménès, la titularisation de Kezman, les statistiques, les photos et les news des tribunes, et quelques infos complémentaires…

Avant le match de Lyon à Marseille, le PSG avait l’occasion de doubler le champion de France en titre. Une nouvelle fois, les Parisiens n’auront pas réussi à saisir cette opportunité.

Le match en bref

Après une première occasion de Kezman, dont la frappe du gauche dans la surface est contrée, Auxerre obtient une énorme occasion par l’intermédiaire de Chafni, suite à une glissade de Sakho sur son côté gauche. La maladresse — son extérieur du droit passe largement à côté — et l’égoïsme — Jelen était tout seul — de l’Auxerrois permettent heureusement aux Parisiens de s’en tirer avec un simple avertissement. La sanction arrivera en fin de première mi-temps : un ballon perdu aux abords de la surface de réparation bourguignonne est vite renvoyé devant vers Jelen, à la lutte avec Camara. Le défenseur parisien lobe Landreau, qui a hésité dans sa sortie (0-1, 39e).

Pire, dans les derniers instants de la première période, Auxerre double la mise : l’AJA fait circuler la balle jusqu’à trouver une ouverture à travers la défense parisienne, passive. Sur le côté gauche de la surface, Jelen se présente seul face à Landreau. Il réussit à glisser le ballon entre le gardien et la ligne de but juste avant que celui-ci ne sorte en six-mètres (0-2, 44e).

Malgré quelques séquences durant lesquelles les Parisiens font le forcing — notamment une frappe de Sakho repoussée sur sa ligne par Berthod —, le score n’évolue plus avant les dix dernières minutes du match. Une frappe de Sessegnon aux 20 mètres est détournée par Mignot au fond des buts auxerrois (1-2, 83e).

Un dernier corner parisien passera devant les buts auxerrois sans trouver preneur, et Kezman ne parviendra pas à cadrer sa reprise du gauche, au deuxième poteau (88e).

Cliquez-ici pour voir le résumé de Jour de Foot

Bilan de la 36e journée

Le PSG est assuré de terminer entre la troisième et la septième place.

Classement après la 36e journée de L1
#ClubPointsDiff.J
3. Lyon 67 +21 36
4. Paris SG 63 +12 36
5. Toulouse 60 +16 36
6. Lille 58 +10 36
7. Rennes 58 +1 36

Les trois poursuivants du PSG ont fait match nul ce week-end, ils reprennent donc chacun 1 point aux Parisiens. De son côté, Lyon prend une sérieuse option sur la troisième place en s’imposant 1-3 à Marseille. L’OL compte désormais quatre points d’avance sur le PSG, et une différence de buts largement favorable.

Joueur par joueur

Fin de saison oblige, les dirigeants parisiens étudient d’un oeil particulièrement attentif les prestations de leurs joueurs. Désormais, il s’agira de décider lesquels il faudra garder pour continuer l’aventure dans les meilleures conditions, et lesquels on pourrait laisser découvrir d’autres cieux.

Landreau : fautif sur les deux buts — même s’il n’est évidemment pas le seul à mettre en cause (voir plus bas) — Landreau n’a pas paru sous son meilleur jour. Une sortie à contre-temps qui place Camara en situation de marquer contre son camp sur une balle heureusement contrée, des prises de balles aériennes peu sûres, un but très heureux de Jelen qui prend ici le risque de se voir frappé du syndrome Cavenaghi [1], Landreau vit une soirée à oublier… ou à mettre en perspective d’une saison globalement excellente.
À garder, à moins de dénicher un autre gardien de niveau international.

Armand : depuis son entorse du genou, le latéral gauche joue strappé, et dit ressentir une vive douleur. Pourtant, quel abattage, et quelle combativité ! Armand a apporté le décalage à plusieurs reprises côté gauche, délivrant nombre de bons centres. Une très belle ouverture pour Kezman au quart d’heure de jeu. L’ex-Nantais est à créditer d’un match plein, en attaque comme en défense. La seule action dangereuse d’Auxerre venue de la gauche résulte d’une glissade de Sakho. Une rage de vaincre et une exemplarité dignes d’éloges en fin de match.
À garder, à tout prix, et à doubler par une jeune recrue afin de lui permettre de souffler de temps en temps.

Sakho : malgré une glissade qui aurait pu coûter un but sur un contre bourguignon, Sakho est à créditer d’une bonne copie. Toujours puissant à l’impact, il est près de marquer à deux reprises sur corner. Les buts encaissés par le PSG ne sont pas de son fait. Quelques montées rageuses… et dangereuses en fin de match, puisque Mamadou perdra un ballon plein axe. Mais au moins il a eu le mérite de tenter de se révolter.
Intransférable. Sakho n’est plus un futur très bon défenseur : il l’est déjà.

Camara : comment un joueur si serein, sûr de lui et tranchant sur la plupart des rencontres peut-il sombrer en quelques minutes ? Camara a vécu un cauchemar en fin de première mi-temps. Si Landreau ne l’aide pas sur le premier but, en sortant sans sortir, Camara est coupable sur le second : il coupe son effort et ne cherche pas à disputer le ballon de Pedretti pour Jelen, laissant l’attaquant adverse marquer l’improbable but de la soirée. Heureusement pour lui, cette soirée ne reflète pas le bilan de sa saison. Papus est-il usé par les tensions qui entourent le PSG ?
Paris peut sans doute trouver un joueur d’un même niveau. Mais à quel prix ?

Ceara : pas aidé par Sessegnon pour qui défendre relève parfois du concept théorique, le Brésilien est fautif sur le deuxième but. Non seulement il perd la balle à l’origine de l’action, mais en plus il laisse filer Jelen alors qu’en bouchant l’angle il aurait préservé Landreau. Un apport offensif très important, de nombreux dédoublements avec Giuly et Sessegnon. Malheureusement ses centres en retrait n’ont jamais trouvé preneur. Il pâtit de l’absence de Hoarau et paye au prix fort la seule action sur laquelle il ne se donne pas à fond.
Sur la saison, il faut avouer que PSG aura du mal à trouver mieux.

Clément : sorti à la mi-temps, Clément n’a pas eu son rendement habituel au milieu du terrain. On sait que l’ancien Lyonnais a une étiquette de « joueur de Paul Le Guen », qu’il a toujours suivi depuis ses débuts en pro. Mais de là à imputer sa prestation moins bonne qu’à l’accoutumée au départ du coach breton, plutôt qu’à la fatigue, il y a un gouffre. Clément a disputé 50 matches cette saison, et compte tenu de son abattage sur les terrains, une certaine lassitude physique paraît légitime.
Au vu de sa saison, et de ses progrès, le PSG doit essayer de s’appuyer sur Clément en 2009/2010.

Makélélé : l’international français rassure ses camarades. Mais hier encore, il n’a pas pesé sur le jeu. Alors certes il replace, conseille et donne de la voix. Mais il n’a récupéré que peu de ballons et a peiné à orienter les relances face à une équipe auxerroise très bien organisée. La question de son rapport efficacité/salaire commence à se poser.
Son statut et son aura font que Makélélé a son destin entre ses mains. On peut se demander dans quelle mesure cette situation est aussi saine que cela.

Rothen : sifflé à sa sortie, le gaucher parisien n’a pourtant pas grand-chose à se reprocher. Il a animé son couloir avec Armand, multipliant les centres ou les ouvertures en profondeur. À eux deux, ils ont donné le tournis à Hengbart. Peu en réussite ces derniers mois, il a de plus offert plusieurs très bons ballons sur corner, dont deux offrandes en première mi-temps. Ah, si seulement Hoarau avait été là…
Au vu de la saison, Rothen semble en baisse de régime. Une fin de cycle ?

Sessegnon : une énigme. Très à l’aise quand il s’agit d’éliminer un ou deux adversaires balle au pied, le Béninois possède une technique de dribble et un coup de rein remarquables. Mais à quoi cela sert-il si, comme hier, il se montre ensuite incapable de cadrer une frappe alors qu’il est seul face au gardien à 30 mètres ou, pire, s’il multiplie les passes ratées ? Que de déchet ! De plus, Sessegnon a une nouvelle fois commis quelques gestes d’énervement qui commencent à lasser arbitres et supporters. Sans doute troublé par les rumeurs d’un possible intérêt de Chelsea orchestré par son propre agent — et démenties par le PSG —, vu son potentiel le jeune parisien finit la saison de manière décevante.
À garder… mais pas à n’importe quel prix.

Luyindula : Peggy a joué de malchance : après Gomis et Savidan, il a été sélectionné par Domenech, l’homme qui transforme le métal précieux en plomb. Une image révélatrice du match de l’attaquant parisien : un contrôle facile, dos au but, mais totalement raté qui amène le contre auxerrois et l’ouverture du score. Qu’a-t-il réussi hier ? Si ses excellentes prestations hivernales ont pu faire douter, le match d’hier confirmerait plutôt l’idée que Luyindula est un bon joueur… de complément.
À garder si possible, mais pas comme titulaire indiscutable.

Kezman : et si c’était la bonne surprise de cette fin de saison ? Alors certes il ne parvient pas à contrôler cette balle de 2-2 sur corner dans les arrêts de jeu… mais avant cela il se sera dépensé sans compter, couvrant toute la largeur de l’attaque, il aura tenté sa chance en frappant au but, et harangué ses coéquipiers montrant un refus de la défaite auquel les Parisiens ne sont plus accoutumés. Une prestation intéressante, qui confirme les progrès du buteur serbe. À suivre…
De toutes manières, Paris va le faire signer… Mais l’avenir prouvera peut-être que cette recrue signée Villeneuve n’était pas si ridicule que cela.

Bilan : ce match paradoxal a vu la majorité des joueurs réaliser une prestation contraire à leur bilan de la saison. Ceux qui étaient jusque-là plutôt rassurants sont passés au travers (Landreau, Camara, Ceara), et ceux qui peinaient ont su élever leur niveau de jeu (Rothen, Kezman). Difficile donc à la cellule de recrutement et au futur entraîneur de tirer des enseignements sur cette seule rencontre.

Comment dire n’importe quoi en deux paragraphes

Pierre Ménès est un homme occupé. Journaliste sportif, il distille ses analyses pertinentes à divers médias : ses réflexions pleines de finesse peuvent être entendues sur RTL, sa plume raffinée — ou celle du stagiaire qui écrit à sa place, comme le dit la rumeur — continue de s’exercer dans le quotidien Aujourd’hui Sport, il nous fait partager sa clairvoyance en établissant des pronostics très souvent erronés sur le site Unibet et, surtout, il participe à l’émission de M6, 100 % Foot — enfin quand celle-ci est diffusée, puisque deux émissions ont récemment été déprogrammées pour des raisons budgétaires [2]. Au milieu de tout ça, le brave Pierrot — ou toujours son supposé stagiaire — doit trouver le temps d’écrire aussi souvent que possible sur son blog Yahoo !. Et forcément, parfois, à force de se disperser, la lucidité n’est plus présente.

Le PSG ne gagne jamais sans Hoarau (depuis 3 jours)

Battu au Parc [le PSG fut] incapable de faire preuve de la moindre agressivité face à des Auxerrois qui confirment leur excellente deuxième partie de saison. Et comme par hasard, c’est depuis le retour de l’intenable Jelen que l’AJA s’est réveillée. Comme quoi, une équipe peut être dépendante d’un unique joueur. Un seul être vous manque, etc. La ritournelle de Lamartine pourrait également s’appliquer au PSG, qui n’arrive plus à gagner sans Hoarau.

Première erreur. S’il est évident que le PSG a plus de mal à jouer sans son meilleur buteur, dire que le PSG n’arrive plus à gagner sans Hoarau est clairement faux. Pour la bonne raison que sans le Réunionnais, Paris s’est imposé au Mans. Mais il est vrai qu’il était difficile de s’en souvenir, puisque cela date de… trois jours.

Landreau repousse les limites du ridicule

Et quand défensivement ça ne va pas, ça donne ce c.s.c assez malchanceux de Camara et ce deuxième but étonnant de Jelen, sur lequel Landreau a encore repoussé les limites du ridicule. J’ai d’ailleurs lu qu’il avait annoncé son départ du PSG, j’ai hâte de voir où il va atterrir.

Certes, Landreau n’est pas irréprochable sur le deuxième but auxerrois, puisqu’il ne bouche pas l’angle de tir du buteur bourguignon. Mais dire que Landreau repousse les limites du ridicule est particulièrement exagéré, puisque le but résulte d’un geste assez improbable de Jelen : le ballon ayant déjà franchi la ligne de but aux neuf dixièmes, dans un tel cas de figure, l’action la plus probable est un centre en retrait, et non pas un tir dont la trajectoire contourne le poteau. Landreau anticipe, et malheureusement c’était le mauvais choix. De plus, il faut souligner que si Jelen s’est retrouvé dans cette improbable situation de tir, c’est parce que et Ceara et Camara ont coupé leur effort, le laissant seul sur le ballon.

On a déjà vu des erreurs plus flagrantes pour un gardien cette saison — on pense aux diverses boulettes de Mandanda par exemple, ou à celle du même Landreau face à Kiev —, mais surtout Ménès prouve encore que sa mémoire ne fonctionne plus très bien. Si Landreau est bien un des joueurs fautifs sur cette action, il n’empêche qu’il réalise une saison de très haut-niveau : nombre de points ont été préservés grâce à ses superbes arrêts. Que ce soit à Lyon, à Lorient, à Lille ou encore au Mans cette semaine, les arrêts de grande classe ont permis au PSG de ne pas revenir bredouille de ses déplacements. Connaissant le degré d’objectivité de Ménès — celui-ci a tendance à être très complaisant avec ses amis avoués dans le métier, comme Christian Gourcuff, Laurent Blanc et Thierry Henry, et au contraire à être très vindicatif envers ceux avec lesquels il a eu des soucis —, cet extrémisme dans les termes prouve juste que Landreau et lui ne sont pas bon copains. Quel professionnalisme !

De la notion de faute professionnelle

Quoi qu’il en soit, cela fait quand même trois fois cette saison que les Parisiens ont la possibilité de passer devant Lyon en jouant à domicile, et trois fois qu’ils perdent. Pour moi c’est à la limite de la faute professionnelle.

À propos de professionnalisme, ce passage tombe à point. Pierre Ménès utilise ici allègrement un abus de langage très présent dans le langage footballistique. Où l’on apprend que des matches perdus deviennent une faute professionnelle dans le monde du sport. Rappelons que le classement du championnat comporte 20 places qui seront toutes attribuées à la fin de la saison. Y a-t-il un seuil qui détermine à partir de quelle place une équipe commet une faute professionnelle ? Non, il s’agit juste de la loi du sport. Pour information, une faute professionnelle est un manquement commis par un salarié dans le cadre de son travail. Dans le cadre du football, il peut s’agir par exemple d’un joueur qui manque un entraînement, ou d’un autre qui dénigre publiquement son club. Nous sommes donc formels : perdre un match ou même plusieurs, encaisser un but gag, rater une occasion facile, tout ceci ne rentre pas dans la case faute professionnelle, jusqu’à preuve du contraire.

Autres infos autour du match

Kezman encore titulaire

Malgré certaines évidences, pour beaucoup, Paul Le Guen n’aime pas Kezman et ne lui a jamais fait confiance. Difficile de savoir la vérité sur la première assertion ; sur la deuxième en revanche, ce qui s’est passé cette semaine tend à prouver le contraire. Mercredi au Mans, le coach du PSG a titularisé le Serbe par obligation — Hoarau et Giuly étaient absents. Hier soir en revanche, Le Guen aurait très bien pu respecter sa hiérarchie habituelle et titulariser Ludovic Giuly, à nouveau opérationnel.

Sauf que Le Guen a visiblement tenu compte du bon match de Mateja Kezman réalisé en terre sarthoise, a donc décidé de profiter de ses excellentes dispositions pour l’aligner à nouveau dès le coup d’envoi. Ce qui voudrait dire que Paul Le Guen n’est pas l’être borné souvent décrit : aussi incroyable que cela puisse paraître, l’entraîneur d’une équipe professionnelle tient compte de la forme du moment pour façonner son équipe. Et s’il n’a pas plus titularisé Kezman jusque-là, ce n’est pas parce qu’il n’aimait pas ses tatouages ni parce qu’il boudait du fait qu’on lui avait imposé le joueur, mais juste qu’il estimait qu’il avait d’autres joueurs à sa disposition plus en jambe.

Quelques stats

- C’est la cinquième victoire consécutive d’Auxerre en L1.

- C’est la deuxième défaite consécutive du PSG au Parc des Princes. Une première depuis décembre 2007 (PSG 0-1 Caen puis PSG 1-2 Toulouse).

- Ce n’est que la deuxième défaite du PSG contre Auxerre depuis 25 ans !

- Auxerre a marqué au moins 1 but au Parc des Princes lors de ses quatre dernières venues dans la capitale.

- Mamadou Sakho disputait son 50e match sous les couleurs du PSG, toutes compétitions confondues.

Suspensions

Stéphane Sessegnon ayant été averti samedi soir pour la troisième fois en moins de 10 matches, il sera suspendu contre Monaco samedi 30 mai (38e journée). Par ailleurs, Guillaume Hoarau reste sous la menace d’une suspension en cas de nouvel avertissement.

Banderoles, tribunes et photos

Les photos des tribunes sont disponibles sur les sites habituels :
- PSGMAG.NET : Photos de PSG 1-2 Auxerre depuis Auteuil ;
- les Supras ;
- fansupporters.com ;
- le fil dédié au match de Mouvement Ultra.

Le site officiel du Paris SG propose également des photos du match et des tribunes.

Notes

[1] Depuis qu’il a marqué une sublime reprise de volée à l’aveugle contre le PSG le goleador girondin reste désespérément muet avec un seul petit but inscrit en 8 rencontres jouées. Son quota d’insolente réussite a été épuisé pour un bon moment.

[2] La production de chaque émission coûterait 40 000 € — pour quatre personnes qui parlent autour d’une table, il est vrai que cela revient cher…

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2 commentaires ont déjà été postés par nos lecteurs

  • #1

    commentateur anonyme
    20 mai 2009 19:27

    il me semble sur l’image arretée du deuxieme but d’auxerre (illustrant l’article) que le ballon a franchi la ligne de sorite de but…
    sans crier au complot pour autant, c’est rageant car le but est lourd de consequence pour le deroulement du match mais aussi car personne ne semble s’en etre apercu (un arbitre de surface…VITE)
    m’enfin il est vrai que sur ce match les joueurs n’ont malheureusement rien demontrer et, plus inquietat encore, n’ont pas eu l’envie necessaire d’aller chercher une troisieme place, ou tout du moins mettre lyon sous pression, face a une equipe qui ne jouait plus rien dans ce championnat.

  • #2

    Thibaut Heimermann
    20 mai 2009 20:45

    Ce qui est incroyable, c’est que personne n’en parle. ça c’est Paris ! ;o) ou ;o(

    Vous imaginez Bazin descendre dans les vestiaires et invectiver l’arbitre en mode Aulas ?
    Vous imaginez Le Guen crier au complot ?
    Vous imaginez Alain Roche se répandre dans les médias en demandant l’annulation du résultat ?

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