PSGMAG.NET est définitivement fermé depuis 2013.


 

Les résultats et les stats des précédentes confrontations

[24e j.] Un oeil dans le rétro : PSG - ASSE

Souvenirs de matches et de joueurs qui ont fait l’histoire des PSG-ASSE

vendredi 13 février 2009, par Gauthier B., Vivien B.

[24e j.] Un oeil dans le rétro : PSG - ASSE

Retour sur quelques uns des matches les plus marquants entre le Paris SG et l’AS Saint-Étienne au Parc des Princes. Faisons également le point sur les principaux chiffres marquant les confrontations PSG-ASSE en championnat, en coupe de France et en coupe de la Ligue.

Saint-Étienne réussit historiquement bien au PSG, mais les Parisiens ne se sont plus imposés à domicile depuis plus de huit ans.

Historique : les stats plus ou moins indispensables…

Bilan des confrontations PSG - ASSE en D1 / L1

PSG - ASSE à domicile : bilan global défavorable

- En 27 PSG-ASSE, le PSG compte 16 victoires, 9 matches nuls et seulement 2 défaites. Le dernier succès des Parisiens remonte à septembre 2000.

PNG - 8 ko
Tous les résultats des PSG-ASSE en L1 depuis 15 ans

Cliquez-ici pour découvrir tous les résultats PSG-ASSE en D1/L1

1970/1971 : Paris SG en D2
1971/1972 : Paris SG 1-3 AS Saint-Étienne
1972/1973 : Paris SG en D3
1973/1974 : Paris SG en D2
1974/1975 : Paris SG 2-2 AS Saint-Étienne
1975/1976 : Paris SG 2-1 AS Saint-Étienne
1976/1977 : Paris SG 2-0 AS Saint-Étienne
1977/1978 : Paris SG 4-1 AS Saint-Étienne
1978/1979 : Paris SG 1-1 AS Saint-Étienne
1979/1980 : Paris SG 2-2 AS Saint-Étienne
1980/1981 : Paris SG 1-1 AS Saint-Étienne
1981/1982 : Paris SG 0-0 AS Saint-Étienne
1982/1983 : Paris SG 4-1 AS Saint-Étienne
1983/1984 : Paris SG 3-1 AS Saint-Étienne
1984/1985 : AS Saint-Étienne en D2
1985/1986 : AS Saint-Étienne en D2
1986/1987 : Paris SG 3-0 AS Saint-Étienne
1987/1988 : Paris SG 3-0 AS Saint-Étienne
1988/1989 : Paris SG 3-1 AS Saint-Étienne
1989/1990 : Paris SG 2-0 AS Saint-Étienne
1990/1991 : Paris SG 4-2 AS Saint-Étienne
1991/1992 : Paris SG 0-0 AS Saint-Étienne
1992/1993 : Paris SG 3-1 AS Saint-Étienne
1993/1994 : Paris SG 1-0 AS Saint-Étienne
1994/1995 : Paris SG 1-0 AS Saint-Étienne
1995/1996 : Paris SG 4-0 AS Saint-Étienne
1996/1997 : AS Saint-Étienne en D2
1997/1998 : AS Saint-Étienne en D2
1998/1999 : AS Saint-Étienne en D2
1999/2000 : Paris SG 2-0 AS Saint-Étienne
2000/2001 : Paris SG 5-1 AS Saint-Étienne
2001/2002 : AS Saint-Étienne en D2
2002/2003 : AS Saint-Étienne en D2
2003/2004 : AS Saint-Étienne en D2
2004/2005 : Paris SG 2-2 AS Saint-Étienne
2005/2006 : Paris SG 2-2 AS Saint-Étienne
2006/2007 : Paris SG 0-2 AS Saint-Étienne
2007/2008 : Paris SG 1-1 AS Saint-Étienne

PSG-ASSE à domicile : autres chiffres

- Le PSG est réputé bien réussir contre Saint-Étienne au Parc. En fait, avec 59 % de victoires, 33 % de matches nuls et 7 % de défaites, la réception de l’ASSE au Parc est certes statistiquement meilleure que la moyenne, mais pas dans des proportions spectaculaires [1].

- Dans le détail, le PSG n’a perdu que deux fois contre Saint-Étienne : en 1971/1972, pour la première saison du PSG dans l’élite, puis en 2006/2007. Compte tenu par ailleurs des huit saisons que le club stéphanois a passées en deuxième division, le bilan statistique apparaît moins favorable que l’on pouvait le penser.

- Avec 3,07 buts par match en moyenne, les PSG-ASSE sont parmi les plus prolifiques en buts (seuls PSG-Estac et PSG-Lens font mieux) : lors des autres rencontres du PSG à domicile, la moyenne est de 2,63. Ce sont les Parisiens qui font la différence : le détail indique 0,93 but marqué par les Stéphanois en moyenne (autant que les autres adversaires), et 2,15 but pour le PSG (contre 1,70 face aux autres clubs).

Le PSG contre Saint-Étienne au total (domicile et extérieur)

- Avec seulement 12 défaites en 55 matches — soit 22 % d’échecs —, l’AS Saint-Étienne réussit plutôt bien au PSG.

- Saint-Étienne fait partie des équipes contre lesquelles le PSG marque le plus de buts : 1,56 but par match en moyenne (contre 1,38 pour les autres adversaires du club parisien). En revanche, les Stéphanois marquent légèrement moins que les autres adversaires du club de la capitale (1,05 contre 1,15 but par match).

Précédentes confrontations entre le PSG et l’ASSE en coupes

En coupe de la Ligue comme en coupe de France, Saint-Étienne et le Paris SG ne se sont affrontés qu’une seule fois !

En coupe de France

En dehors de la finale 1982 au Parc des Princes (2-2, 6 t.a.b. à 5) — le premier trophée du PSG —, Stéphanois et Parisiens ne se sont jamais affrontés en coupe de France depuis 1970 !

À noter en revanche que le PSG a affronté Côte-Chaude-Saint-Étienne en 1993/1994, lors des trente-deuxièmes de finale. Le score fut sans appel : 0-10, buts de Gravelaine (x3), Raï (x2), Ginola (x2), Le Guen, Fournier et Chatana (c.s.c.).

En coupe de la Ligue

Saint-Étienne et le PSG se sont affrontés une seule fois en coupe de la Ligue :

- en 1998/1999, le PSG l’emporte 1-0 au Parc des Princes grâce à un but de Mickaël Madar, fraîchement arrivé au mercato d’hiver et pourtant hors-jeu sur l’action… Alonzo et Potillon jouaient avec les pensionnaires de D2.

Histoires de PSG - Saint-Étienne

6 novembre 1999, 14e journée de D1 : 2-0

Le PSG de Philippe Bergeroo se situe dans le haut du tableau, mais pour l’instant son inconstance l’empêche de viser plus haut que la 5e place, comme en témoigne la défaite au Havre lors du match précédent. Le promu stéphanois se déplace au Parc sans complexe : le club du Forez est 7e grâce à de nombreux futurs parisiens [2]. L’entraîneur parisien doit quant à lui composer avec quelques absences : son côté gauche est décimé suite à la suspension de Laurent Robert et la blessure d’Igor Yanovski. L’Albanais Edwin Murati est donc titulaire au poste d’arrière gauche.

Le match n’est pas très enlevé mais se déroule tout de même très bien pour le PSG, puisqu’il s’agit d’une victoire tranquille : Mickaël Madar ouvre le score en première mi-temps, d’une tête plongeante sur un centre du capitaine Ali Benarbia. En fin de match, Laurent Leroy, rentré en cours de rencontre, part en contre-attaque, dribble Jérôme Alonzo d’un subtil petit pont et pousse la balle dans le but vide.

Quelques matchs plus tard, le PSG fera enfin une bonne série de résultats pour se mêler à la lutte pour la Ligue des Champions — Monaco, le leader, était sans rival cette saison-là. Et, suite à ses bonnes rentrées, le remplaçant Laurent Leroy finira par gagner ses galons de titulaire.

9 septembre 2000, 7e journée de D1 : 5-1

Le PSG, qui a fait un recrutement estivale spectaculaire, reste sur une cinglante défaite à Troyes, cinq buts à trois, et s’apprête à entamer sa campagne de Ligue des Champions à Trondheim la semaine suivante. Philippe Bergeroo laisse donc certains de ses joueurs au repos — Bernard Mendy et Stéphane Dalmat — et surtout il fait un choix très prévisible : le gardien titulaire Dominique Casagrande est remplacé par sa doublure de luxe Lionel Letizi, qui joue donc cet après-midi-là son premier match parisien.

Ce sera une véritable démonstration parisienne. En première mi-temps, Édouard Cissé, qui est titularisé côté droit, lance depuis son camp Nicolas Anelka, lequel prend tout le monde de vitesse et ouvre le score du gauche. En deuxième mi-temps, Jean-Guy Wallemme, défenseur des Verts, fait une faute en pleine surface ; Jay-Jay Okocha transforme le penalty tout en décontraction. Quelques minutes plus tard, Wallemme tacle Laurent Robert à retardement : deuxième carton jaune, expulsion du capitaine stéphanois. Sur le coup-franc, Laurent Robert tire sur le poteau, la balle rebondit sur le dos du gardien ukrainien au faux-passeport Levytsky et rentre. Le but sera attribué par la LFP à Laurent Robert tout de même.

Cette équipe parisienne a pris l’habitude d’encaisser au moins un but par match, et cela se confirme avec la réduction du score de Laurent Huard sur une belle frappe enroulée. Mais Paris reprend le large dans la foulée : Christian marque du gauche après une bonne passe de Robert, et Anelka profite d’un centre contré de Cissé pour faire le doublé.

La déroute de la semaine passée est donc effacée par cette victoire, et la plupart des recrues onéreuses semblent en pleine forme, à l’image de Nicolas Anelka qui vient de marquer cinq buts en trois matches. Malheureusement, il n’en marquera que huit en championnat sur toute la saison…

Cliquez-ici pour voir le premier but d’Anelka

Cliquez-ici pour voir le but d’Okocha

Cliquez-ici pour voir le but de Robert

Cliquez-ici pour voir le but de Christian

Cliquez-ici pour voir le deuxième but d’Anelka

29 août 2004, 4e journée de D1 : 2-2

Le PSG, vice-champion en titre, reçoit des Stéphanois de retour dans l’élite après trois années d’absence. Deux futurs Parisiens garnissent les rangs des Verts : David Hellebuyck et Zoumana Camara. Côté parisien, il n’y a toujours pas eu de victoire cette saison, les nouvelles recrues Mario Yepes, Sylvain Armand et Jérôme Rothen ne sont pour l’instant pas au mieux et Fabrice Fiorèse est allé récemment au clash avec ses dirigeants. Il n’est pas dans le groupe ce soir — Édouard Cissé doit donc animer le côté droit une fois de plus —, mais les dernières rumeurs annoncent un apaisement et un retour à la raison du Parisien qui a certifié aux supporters qu’il ne quitterait pas le club…

Paris domine, Saint-Étienne joue en contre. Et ça leur réussit puisqu’ils ouvrent le score en deuxième mi-temps par l’intermédiaire de leur deux principales armes offensives : Feindouno et Piquionne. Le premier centre pour le deuxième qui prend le meilleur de la tête sur un Yepes mal placé. Halilhodzic choisit alors de faire rentrer Bartholomew Ogbeche à la place de Lorik Cana. Cela paye puisque le Nigérian obtient un penalty transformé par Pauleta, puis il donne l’avantage à son équipe en marquant de la tête suite à un centre de Reinaldo. Ce même Reinaldo avait préalablement tapé la barre sur une reprise de volée. Le PSG domine son match, et plus rien ne peut lui arriver. Bernard Mendy expédie même un missile de plus de trente mètres que Janot, le portier stéphanois, a du mal à repousser. Pourtant, les Verts égalisent par le biais du même duo que sur le premier but. Feindouno sert Piquionne, celui-ci dribble Yepes, puis Armand et marque du droit.

Match nul, le PSG ne gagne toujours pas, et les recrues, à l’image de Yepes et d’Armand complètement dépassés, ne s’acclimatent toujours pas au club. Quant à Fiorèse, malgré ses promesses, il s’en ira à l’OM dans les dernières minute du mercato, obligeant les dirigeants à recruter Charles-Édouard Coridon en toute hâte.

Cliquez-ici pour voir le but de Pauleta

Cliquez-ici pour voir le but d’Ogbeche

4 février 2006, 25e journée de D1 : 2-2

Guy Lacombe est entraîneur du PSG depuis un mois et, pour l’instant, aucune amélioration n’est notable. Le rythme est même moins bon que celui imposé par Laurent Fournier : victoire à domicile, défaite à l’extérieur. Considérant que son équipe manque d’aboyeurs, le coach parisien décide de titulariser Jérôme Alonzo, qui, il est vrai, n’a pas la langue dans sa poche.

Malheureusement, cette titularisation n’a pas les effets escomptés : Alonzo est fautif sur les deux buts encaissés en première mi-temps par le PSG. Sur le premier, il repousse mal une frappe de Postiga, et Piquionne marque dans le but vide. Sur le second, Postiga réalise un centre tire, Alonzo repousse des poings… sur son pied qui envoie la balle dans le but. Pour atténuer la responsabilité du gardien parisien, il est à noter que l’équipementier Nike avait décidé de lancer un tout nouveau ballon pour ce match. Très léger et avec un motif qui donne l’impression que le ballon est voilé et qu’il fait constamment des faux-rebonds. Pour s’en convaincre, il suffit de regarder l’égalisation de Pauleta, qui intervient entre les deux buts stéphanois. Cristian Rodriguez réalise une passe en première intention — probablement la seule de sa carrière — en direction de Pauleta qui pique son ballon au-dessus de Janot. La balle rebondit, semble-t-il dans tous les sens, avant de rentrer. Janot plaindra d’ailleurs le pauvre Alonzo après le match, et expliquera qu’il est impossible de jouer au football avec un tel cuir.

Quoi qu’il en soit, le PSG se retrouve mené à la mi-temps, et Lacombe décide de faire rentrer Fabrice Pancrate puis Carlos Bueno. Les occasions parisiennes se multiplient, et l’égalisation intervient à dix minutes de la fin. Sur un centre de Dhorasoo, Yepes monté aux avant-postes remet de la tête pour Pancrate qui marque d’un joli ciseau smashé. Pancrate marque-là son troisième but consécutif en trois matches au Parc des Princes, lui qui a été complètement relancé par l’arrivée de Lacombe. Le PSG fait tout pour gagner, mais Jérémie Janot multiplie les arrêts de grande classe.

Match nul du PSG, malgré un bon match et un bel état d’esprit, qui malheureusement marque le début de sa chute au classement. Quant au nouveau ballon Nike, il ne sera plus jamais utilisé au Parc des Princes.

Cliquez-ici pour voir le résumé du match

25 février 2007, 26e journée de D1 : 0-2

Paul Le Guen est entraîneur depuis peu, et le PSG affiche un léger mieux après deux victoires consécutives. Mario Yepes blessé suite à l’attentat commis par Djibril Cissé quelques semaines plus tôt, Armand joue défenseur central et Boukary Dramé arrière gauche. La recrue Marcelo Gallardo est également blessée.

Le match se joue en première période, deux occasions suffisent aux Stéphanois pour l’emporter. Sur un contact anodin et réglementaire entre David Rozehnal et Ilan, l’arbitre du match M. Enjimi siffle un coup-franc le long de la touche. Julien Sablé le tire pour la tête de Perquis qui marque. Juste avant la mi-temps, Feindouno déborde côté gauche, centre sur Gomis qui remet pour Ilan. Ce dernier se lève la balle et effectue un retourné acrobatique. Bien que son pied ait frôlé dangereusement la tête de Sylvain Armand, l’arbitre valide le but.

Les Parisiens feront tout pour revenir : sur un corner, Bonaventure Kalou prend le meilleur sur le gardien, mais sa tête est sauvée sur la ligne. Pauleta réalise une superbe frappe enroulée qui vient échouée sur la barre et enfin, Pierre-Alain Frau réalise une reprise de volée, encore une fois sauvée sur sa ligne par un défenseur. Janot s’en sort sans faire aucun arrêt.

Cette défaite marque le début d’une très mauvaise série parisienne : quatre défaites consécutives qui précipiteront le club à la dernière place du classement.

Cliquez-ici pour voir le résumé du match

10 mai 2008, 37e journée de D1 : 1-1

Dernier match au Parc des Princes de la saison 2007/2008, qui est aussi le dernier match de Pedro Miguel Pauleta dans son jardin. Mais tout ceci passe malheureusement au second plan puisque le PSG, en position de relégable (18e), doit se battre pour assurer son maintien en L1, face à des Stéphanois qui visent eux une qualification européenne. Paul Le Guen peut compter sur Jérôme Rothen de retour de blessure après un mois d’absence.

L’ambiance est électrique dans les tribunes, et la pression est grande. Le match est équilibré, et le PSG se procure quelques bonnes situations, notamment un duel de Pauleta : bien lancé par Rothen, le meilleur buteur de l’histoire du club… panique un peu, très étrangement, et tire avec trop de précipitation. Même Pauleta semble paralysé par l’enjeu, c’est pour dire la pression qu’il y avait sur les joueurs parisiens.

Saint-Étienne ne fait pas de cadeau et ouvre même le score juste avant la mi-temps. Dimitri Payet frappe sur Landreau, qui repousse plein axe. Aucun défenseur ne suit, et deux Verts se retrouvent seuls face au but : le capitaine Loïc Perrin ne se fait pas prier et ouvre le score en force. En début de deuxième période, l’égalisation intervient grâce un but qui génère une très grosse intensité dans les tribunes. Rothen donne la balle à Armand côté gauche — celui-ci est clairement hors-jeu au départ — qui centre du droit pour Chantôme. Le jeune milieu de terrain qui joue à droite du terrain ce soir-là remet de la poitrine pour Jérémy Clément qui frappe du droit en pleine lucarne. Probablement une des seules incursions dans la surface du milieu de terrain défensif.

Partagés entre leur volonté de gagner pour s’assurer le maintien, et la peur de perdre un point qui pourrait s’avérer précieux, les Parisiens n’osent pas attaquer à tout va, et restent malgré tout fébriles. Il s’en faut de peu pour que Gomis marque, mais Landreau fait l’arrêt qu’il faut.

Match nul qui n’assure rien de définitif mais qui permet au PSG d’aborder le dernier match de la saison à Sochaux avec son destin entre ses mains : une victoire et le club reste en L1.

Cliquez-ici pour voir le résumé du match

Joueurs en commun au Paris SG et à Saint-Étienne [3]

Un oeil dans le rétro : Saint-Étienne - PSG

Notes

[1] Toutes ces statistiques sont établies par rapport aux équipes que le PSG a rencontrées au moins à dix reprises.

[2] Alonzo, Aloisio, Alex, Potillon, Pédron et l’ancien Parisien Llacer.

[3] Nombre de matches joués et buts marqués en championnat.

Cet article vous a intéressé ? Notez-le, partagez-le...



Qui sommes-nous ? | Mentions légales | Contactez-nous | Partenaires | Plan du site | Archives |  RSS 2.0 (plus d'infos) | Forum PSG