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Analyse de quelques perles journalistiques

Ces infos sur le PSG passées inaperçues… ou presque !

Même en décembre, les médias n’accordent pas de trève au PSG !

jeudi 1er janvier 2009, par Arno P-E, Vivien B.

Ces infos sur le PSG passées inaperçues… ou presque !

Une remontée au classement de la Ligue 1, la qualification en coupe d’Europe après la victoire face à Twente, et le traditionnel meublage de la trêve hivernale : le PSG a peuplé l’actualité de la presse écrite pendant ce mois de décembre. Voici un bilan de tout ce qui aurait pu passer inaperçu, en positif comme en négatif, du plus grotesque au plus savoureux.

Petites erreurs et gros mensonges, inexactitudes et preuves d’incompétence : en un mois, tout ceci fut répertorié dans les pages des journaux français, au milieu d’autres infos — certaines croustillantes — concernant le PSG.

De l’utilité des sondages à L’Équipe

Quand L’Équipe prouve que les connaisseurs de football… n’y connaissent rien

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{L’Équipe} du 2 décembre

Dans son dossier consacré au PSG du 2 décembre, L’Équipe dresse une série de sondages… surréalistes. Réalisée par Opinionway, l’enquête donne des résultats que Damien Degorre analysera avec un sang-froid digne du comique des Monty Python : l’institut de sondage — probablement délocalisé en République du Boukhistan — ayant fourni des réponses plus burlesques les unes que les autres. On y apprend notamment que selon le panel de franciliens intéressés par le football, Jean-Michel Larqué serait le troisième meilleur entraîneur du PSG (avec 9 % des suffrages).

Commentaire du pauvre journaliste condamné à expliquer la présence du Stéphanois dans la top liste des coaches parisiens ? « L’influence de la télé peut justifier la place de l’actuel consultant de TF1… » Autrement dit, les personnes interrogées n’y connaissant rien, elles ont cité le seul entraîneur dont le nom leur évoquait vaguement quelque chose… Sauf qu’en réalité, Larqué est un des pires entraîneurs ayant jamais officié au Parc des Princes ! Merci Opinionway !

Quant à Charles Villeneuve, il n’aura eu besoin que de six mois pour monter sur le podium des meilleurs présidents de l’histoire du Paris SG… juste devant Charles Biétry ! Lui, il n’aura eu besoin que de six mois pour briser le club avant de se faire jeter, mais les Franciliens « intéressés par le football » le placent tout de même avant Daniel Hechter ! Le Breton fossoyeur devance donc le président créateur du Paris Saint-Germain tel que nous le connaissons aujourd’hui [1] ! Mais où l’institut de sondage est-il allé chercher de si fins connaisseurs du PSG ? La question restera sans réponse car là, sans doute désespéré, Damien Degorre préfère ne pas commenter.

Et dire que L’Équipe a payé Opinonway pour ça…

Prix de la sincérité

Vous aviez oublié José-Karl Pierre-Fanfan, ancien défenseur central et capitaine du PSG ? Ce n’est pas le cas de tout le monde, puisque l’excellente Émilie Pilet, du quotidien Le 10 Sport, a retrouvé sa trace ! JKPF joue désormais au club d’Al-Siliya, au Qatar. Et contrairement à d’autres « esclaves » des temps modernes, lui au moins ne crache pas dans la soupe :

Il ne faut pas se mentir. Les joueurs les plus prestigieux gagnent énormément, il n’y a pas de grille de salaire, pas de limite. Si une grosse majorité des joueurs du championnat de France rêve d’y aller, c’est bien parce que les conditions salariales y sont bien meilleures.
Comme ça, c’est dit !

On a retrouvé le paranoïaque échappé de l’asile

Ce coup-ci c’est sûr, Guy Lacombe, ancien entraîneur du PSG, est très malade. Voilà ce que le coach, systématiquement présenté dans la presse comme le « coach-invaincu en L1 » déclarait dans un entretien donné à Rapahël Raymond, de L’Équipe :

Je lis les journaux. C’est effarant. C’est vendeur de taper sur Guy Lacombe. Les médias ne vont pas changer d’un iota sur moi. Cette situation m’ennuie vis-à-vis de mon groupe, car des joueurs peuvent profiter de cette image pour gangrener les relations. Ça peut aller très vite. Ça s’est passé ici. Je connais la musique.
C’est sûr que Guy Lacombe à Rennes, ce n’est pas comme si tout le monde s’en fichait…

Donc selon le moustachu le plus célèbre de la L1, non seulement les médias, qui oublient systématiquement de rappeler la piteuse élimination en coupe d’Europe de Rennes face au modeste club de Twente, étrillé 4-0 par le PSG quelques semaines plus tard, se ligueraient tous contre lui, mais en plus le coach rennais anticipe déjà une conspiration ourdie par son vestiaire à la première occasion ?

Si ça ce n’est pas de la paranoïa aiguë… Bonne ambiance à Rennes, ça fait rêver un entraîneur pareil. Allez Jimmy Briand, lâche ce couteau, tu rejoindras le Paris SG en juin !

Journalisme, Bescherelle, désinformation et nazis

Schneider cherche Bescherelle désespérément

Dans un précédent article, nous avions laissé Grégory Schneider, journaliste à Libération, en proie à ses difficultés orthographiques chroniques et son absence totale de cohérence. Cette fois-ci, dans sa critique du livre de Jérôme Rothen, Grégory Schneider a su remonter la pente. Voici par exemple le portrait qu’il dresse du milieu de terrain parisien :

Réputation : franc (« dans certaines situations, j’ai tendance à agir d’abord et réfléchir ensuite »), l’insulte facile, aucune qualité footbalistique notable, à l’exception du pied gauche ; le meilleur du foot français.

Cela fait plaisir de retrouver le journaliste de Libé à son meilleur niveau. Eh oui, mis à part le fait qu’il possède — selon le journaliste — le meilleur pied gauche de France, Rothen ne peut compter sur aucune qualité footbalistique notable. Dommage que le foot ne se joue pas avec les pieds quoi…

Sinon, point de vue conjugaison, les efforts de Grégory Schneider ont porté leurs fruits : s’il peinait à conjuguer les verbes à la troisième personne du pluriel, désormais il s’acquitte de cette tâche très honorablement. Enfin bon, il y met de la bonne volonté quoi. Non mais il a des difficultés, OK, mais au moins il essaye :

Il se meut dans le milieu du ballon - la seule activité humaine où le salarié gagne vingt fois ce que gagne ses patrons -
Alors évidemment, si on se met à placer le sujet après le verbe aussi, comment voulez-vous que le pauvre Grégory se souvienne qu’il faut accorder ?

Les nazis du PSG : Jérôme Touboul réécrit l’histoire

Pour L’Équipe, les supporters du Paris Saint-Germain sont violents et racistes. Et sinon, quoi de neuf ? Rien.

Même quand ils sont agressés en mars 2001 devant les caméras de télévision, quelques années et un journaliste suffisent pour réécrire l’histoire, et lui faire dire l’exact contraire de la vérité : Jérôme Touboul évoque les heurts qui ont eu lieu lors du match PSG - Galatasaray en Ligue des Champions. Après les insultes, les jets d’objets divers en direction d’Auteuil, et enfin l’assaut en règle du Virage depuis la tribune G, les Ultras de la Capitale réagissent… et voilà ce que cela donne, le 2 décembre 2008 : « […] ces supporters de Galatasaray agressés à coup de chaîne par quelques nazillons locaux. » Les supporters du PSG, ou plutôt les nazillons locaux, venus voir un match de Ligue des Champions, puis attaqués à coups de ceinturons, apprécieront.

Et tout ça pour quoi ? Mais pour expliquer que si les « nazillons du Paris SG » sont violents et racistes, comme chacun sait, en revanche ils perdent leurs super pouvoirs une fois passé le Périphérique. Eh oui, selon Touboul, si Paris jouait au Stade de France, ces débordements ne pourraient plus se produire : « L’abandon du Parc, pourtant, a pu être une solution préconisée pour en finir avec la violence qui a empoisonné l’histoire de ce stade. » Enfin du journalisme !

Les nazis du PSG : MSN réécrit l’histoire

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MSN.fr

Jérôme Touboul ferait-il des piges pour MSN ? En tout cas, le portail web de Microsoft — qui revendique près de 9 millions de visiteurs uniques par mois — a publié le mois dernier un article au moins aussi inexact que celui du journaliste spécialisé de L’Équipe. Au sein d’une série de galeries photos sur le thème « les tribunes de la honte », on apprenait ainsi que « bagarres, vitrines brisées autour du stade, arrestations de la part des forces de l’ordre, tag au camp des loges, insultes font partie du quotidien du club ».

« Mais parfois, précise MSN, cela va encore plus loin. En 2006, lors d’une rencontre contre Tel-Aviv, des hordes de supporters racistes s’en prennent à un homme noir, qui s’avère être un policier. Cet incident tourne au drame lorsqu’une balle part, blesse un supporter parisien et en tue un de Tel-Aviv. » Ou comment, à peine deux ans après le drame, le supporter du PSG Julien Quemener devient un supporter de Tel-Aviv. La réalité ne colle pas avec le message qu’on voudrait faire passer ? Changeons la réalité !

Et pour conclure, ce très court article revient sur la banderole déployée contre Lens en finale de la coupe de la Ligue. De quoi illustrer cet article intitulé « les tribunes de la honte : le parc des princes » avec une photo… du Stade de France !

Des nouvelles de Cissé, Lacombe, Perrin et Robert

Le prix du Michel Polnareff

Édouard Cissé, ancien milieu de terrain du PSG, vit des jours difficiles à Istanbul. Il l’a confié à Émilie Pilet, du 10 Sport. Depuis qu’il évolue au Besiktas, Édouard a dû se résoudre à de nombreuses concessions :

Au départ, j’habitais en plein centre-ville d’Istanbul, côté Europe. A cause du trafic pour traverser les ponts, je me suis rapproché du centre d’entraînement, partie Asie.
Dure vie que celle d’exilé… mais il y a pire :
Les Turcs mélangent le yaourt avec tout. Cela fait partie intégrante de leur alimentation. Je ne suis pas fan mais bon… a priori le kebab a le même goût qu’en France… D’ailleurs la France me manque beaucoup.
Reste à savoir dans quelle mesure c’est réciproque.

On vous l’avait bien dit !

Guy Lacombe, le 27 décembre, dans L’Équipe :

Je ne peux pas me renier. J’ai dit [à mes joueurs] : « N’écoutez pas ce que je dis sur le banc de touche ! N’écoutez pas : je dis des conneries. »
D’un autre côté, ça, ça fait deux ans que les supporters du Parc des Princes l’avaient remarqué.

Le bonheur, c’est simple comme…

Pour les journalistes du quotidien le Parisien, le bonheur, c’est simple comme un but de Peguy Luyindula. Alors, quand il s’agit d’écrire un article au lendemain de la qualification face à Twente, Laurent Perrin, Christophe Bérard et Arnaud Hermant s’y mettent à trois… et soudain, tout est oublié !

Finalement, Le Guen n’est pas si nul que cela, Lyon semble bien loin de la Porte d’Auteuil, et à les lire, on les sentirait presque devenir parisiens.

Le Parc des Princes a aussi vécu une soirée folle. Longtemps, on gardera à l’esprit les images de Peguy Luyindula, auteur d’un doublé décisif, sprinteur devant la tribune Auteuil et poursuivi par tout le banc parisien dans « une ambiance fantastique ». Il vient de marquer le but de la qualification, tandis qu’au même moment ou presque les Espagnols de Santander ont dit adieu à l’Europe en voyant Manchester City réduire le score (3-1, score final).
Ah, tiens, finalement dans le journal le Parisien, les lendemains de victoire, le Parc des Pinces c’est « on »… Et sinon, les coutures des vestes, ça va ? Pas trop abîmées à force d’être retournées ?

Pendant ce temps-là, en Grèce…

Dans un entretien donné au journal Le 10 Sport, Laurent Robert se déclare prêt à revenir en France. Pourquoi pas au PSG ?

Avec mon transfert à Newcastle, je suis l’un des seuls joueurs à leur avoir fait gagner beaucoup d’argent. Et je ne demanderai pas le salaire de Makélélé !
Mais le gaucher, qui évolue désormais à Larissa, en Grèce, ne fait pas le difficile : il se déclare prêt à jouer n’importe où. Ligue 1, Ligue 2, tout est bon…
Si le challenge est excitant, que je joue la montée, je suis partant. Lens, Strasbourg, Montpellier ont largement leur place en Ligue 1.
Et surtout, Laurent Robert l’affirme lui-même, il est prêt à consentir à quelques efforts financiers :
J’entends trop souvent dire que je coûte cher, que je demande de gros salaire. C’est faux et archi-faux. À Toronto mon dernier club, je gagnais 10 000 euros par mois. J’ai largement gagné ma vie en Angleterre. Si je reviens en France, ce n’est absolument pas pour l’argent. Arrêtons de dire que Laurent Robert coûte des millions !
Non, décidément, si un club français voulait bien se montrer intéressé, le Réunionnais ne dirait pas non :
J’ai signé [à Larissa] pour deux ans mais je peux discuter avec mes dirigeants pour qu’ils me libèrent. Je ne coûte pas cher, vraiment.
Ouille… C’est si bien que ça, le championnat grec ?

Jérôme Touboul n’a pas d’ami

… mais il connaît Jean-Roch !

Quand il s’agit de pondre un article sur les supporters VIP du PSG, vers qui on se tourne à L’Équipe ? Mais vers Jérôme Touboul bien sûr ! Qui de mieux indiqué que le confident des stars et des grands de ce monde pour remplir cette mission ?

Sauf que voilà, en définitive le pauvre Jérôme n’a peut-être pas tant d’amis que ça. Il tente alors d’interviewer Jean-Roch, obscur patron de boîte de nuit. Mais comme fan du Paris SG, on a vu mieux que l’adepte du bronzage « Paganelli » :

Le PSG n’est pas mon club de cœur […]. Je suis malheureux quand ils battent l’OM ! Après les matches, les joueurs du PSG ne viennent pas assez chez moi. Après leur victoire face à Lyon, aucun n’est venu au VIP, j’étais sidéré.
Tiens, et si pour évoquer les habitués de la corbeille du Parc, on interrogeait un fan de l’OM qui n’arrive même plus à offrir un coupe de champagne gratos à Giuly et Rothen ? Heureusement, J.T. a plus d’une corde à son arc… et il s’adresse ensuite à Bruno Solo. Sauf que là encore, c’est le drame :
J’aime les équipes qui ont une âme mais, pour moi, le PSG a perdu son âme depuis la victoire en Coupe des Coupes en 1996. […] Le Parc ? Je n’y vais plus depuis PSG-Caen en 1993.
La bonne idée : évoquer la bonne ambiance des tribunes VIP avec un acteur… qui n’y a plus mis les pieds depuis 15 ans ! Bravo Jérôme Touboul ! Bon, qu’est-ce qu’on fait, on publie quand même ? Mais oui, on publie !
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{L’Équipe} du 2 décembre

Dans la même veine, le journaliste aux stupéfiants contacts avec la Jet-Set nous sort Fabien Onteniente. Le metteur en scène du film 3 Zéros, en partie tourné au Parc des Princes en 2001, semble la personne indiquée pour aborder le renouveau du carré VIP. Sauf qu’une fois encore, pas de bol, le pauvre Jérôme tombe à côté :

Depuis deux ans, je ne vais plus au Parc. On a un entraîneur trop sage, qui ne prône pas un jeu offensif.
Pour la fine bouche, deux semaines plus tard le PSG de Paul Le Guen se qualifiera en explosant Twente 4-0, le tout dans une organisation à 3 défenseurs à peine, avec un paul Le Guen continuant à jouer l’attaque à la 92e minute. Comme quoi, quand on fait appel aux analyses de vrais connaisseurs…

Heureusement que Patrick Bruel, Malek Boutih et Francis Huster ont aussi accepté de répondre au journaliste de L’Équipe [2]. Parce qu’à part ça, le bilan de Jérôme Touboul frise la désespérance : un Marseillais chez qui les joueurs parisiens refusent de se rendre ; un acteur qui n’a plus vu le Parc depuis 1993 et qui a bien aimé le PSG de Kombouaré… joueur emblématique qui ne s’est jamais imposé comme titulaire ; plus un metteur en scène resté fidèle au PSG jusqu’à la saison dernière, c’est-à-dire jusqu’à ce que ce soit difficile. Quel casting de rêve pour un article intitulé… Des VIP très concernés ! Comme quoi, l’auto-dérision, il n’y a que ça de vrai.

… et il connaît la rue de Rivoli !

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{L’Équipe} du 2 décembre

Restait encore à caser quelque part les précieuses informations glanées par le reporter de L’Équipe : les joueurs parisiens font du shopping sur les Champs-Élysées et rue de Rivoli (en effet, c’est du lourd). Puisqu’aucun article ne s’y prêtait, une idée lumineuse a germé dans les couloirs du quotidien sportif : proposer une carte des « hauts lieux du PSG ». Et voilà le travail : shopping des joueurs, boîtes de nuit, restaurants… Toutes les adresses de vos stars préférées sont dans Closer L’Équipe. Une dernière photo d’un Virage Auteuil illuminé de fumigènes pour illustrer un article sur « le Parc des attractions », accréditant la thèse de l’hypocrisie des médias concernant l’usage de fumigènes, et ce dossier spécial PSG était complet. Merci L’Équipe !

Notes

[1] S’il n’est arrivé qu’en 1973, soit bien après la création du PSG, Daniel Hechter a tout de même grandement contribué à faire du PSG ce qu’il est aujourd’hui.

[2] Enrico Macias devait être souffrant ce soir-là…

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8 votes

8 commentaires ont déjà été postés par nos lecteurs

  • #1

    Brahim78
    2 janvier 2009 11:45

    Félécitations à l’équipe de psgmag pour votre "superbe" site et je pèse mes mots.Votre travail d’analyse (de dézingage de journaleux) et votre rigueur font honneur au paris s.g. !!! Bonne année à tous et longue vie à PSGMAG !

  • #2

    Arno P-E
    2 janvier 2009 12:53

    Merci à toi Brahim78, content que ça te plaise Clin d'oeil !

  • #3

    Truite38
    2 janvier 2009 15:08

    Merci Arno P-E et le reste de l’équipe de PSGMAG bien sur.
    Super site que j’ai découvert grace à Arno que je lisais sur Planète et que j’ai donc suivi sur PSGMAG.
    Bonne continuation.

  • #4

    Arno P-E
    2 janvier 2009 16:03

    Merci à toi, poisson de rivière Tirer la langue ! Et content de te retrouver par ici…

  • #5

    humilityman
    3 janvier 2009 17:53

    Beau travail ! Bravo Arno P-E et Vivien !
    Franchement, je comprends pourquoi je ne perds pas mon temps à lire ces journaux. Ces journalistes sont ridicules et inobjectifs la plupart du temps.

  • #6
    7 votes
    Une lectrice mécontente de lire de pareilles idioties
    31 décembre 2010 05:08

    Je voudrais réagir par rapport à ce qui a été sur Gregory Schneider de Libération, je pense que le jour où vous serez aussi connus que lui, il y aura aussi des petits cons dans votre genre qui vont lire les centaines d’articles que vous allez écrire, et le jour où il y aura une seule faute vous allez en prendre plein la gueule alors que c’est la seule … Sortez une dizaine de fautes qu’il aurait soit disant faites, avant de faire des articles à dire qu’il cherche ses conjugaisons parce que je pense qu’il conjugue bien mieux que vous !

  • #7
    5 votes
    Arno P-E
    31 décembre 2010 10:42

    Bonjour chère lectrice mécontente.

    Merci de ton message, il me permet de finir l’année 2010 sur une note d’espoir. Je me permets de contredire certains de tes arguments :
    - tout d’abord, être connu n’a jamais été un gage de talent. Ou alors c’est que Steevie et tous ses potes lofteurs sont un modèle à suivre pour G. Schneider et ses amis, mais pas pour nous.
    - comme tu t’en es rendue compte, mais ta mauvaise foi semble t’empêcher de l’avouer, nous ne reprochons pas à Schneider de ne pas savoir conjuguer un verbe, ni même ouvrir un bescherelle, non : ce que nous lui reprochions ici c’était plus globalement d’être d’une malhonnêteté intellectuelle écœurante. Et de prendre ses lecteurs pour des idiots en contrevenant la réalité sans vergogne comme il le fait. Après, qu’il soit analphabète n’est que la cerise sur la bonne grosse bûche à la crème chocolatée bien grasse.
    - Et pis d’abord z’avez qu’à sortir plein de fautes avant de criquiquer parce que je suis sure qu’il est bien plus meilleur que vous en conjugaison d’abord. Certes… mais pourquoi ne pas avoir rajouté le "tatatère" que nous espérions tous ici ?

    Alors oui, merci de m’avoir rendu espoir en cette fin 2010 : je commençais à désespérer de trouver un vœu à adresser pour cette année 2011. Désormais j’ai trouvé : que LA fan de G. Schneider accède enfin à la maturité suffisante pour pouvoir prétendre au statut de grande fille.

    Et bonne année, surtout la santé, tout ça…

  • #8

    kob_bzh
    31 décembre 2010 10:55

    Allez, Arno, avoue que tu as créé le personnage de la lectrice de toutes pièces, hein ? C’est trop gros pour être vrai…

    Si ?

    Non ?

    Aïe… Pas content

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